Monday, April 27, 2009

Long days

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Gas station, Chandler

The economic crisis makes it harder and harder for day laborers to find employers. The hours pass slowly with little or no money in their pockets at the end of the day.

A cause de la crise économique, les journaliers ont de plus en plus de mal à trouver un employeur et les heures s’égrènent lentement sans beaucoup d’espoir d’avoir quelque argent en poche à la fin de la journée.

14 comments:

Olivier said...

crise sur crise en ce moment, on peut se demander comment on va s'en sortir (et si...............)

Olivier said...

"La crise économique : c'est fantastique,
La décadence : c'est la bonne ambiance

Je vais sortir ce soir, ce soir
En écoutant du rock, be bop a lula
Pas de boulot pour moi, pour moi
Je sirote un cocktail

Je parle à une fille, une fille
Jusqu'au petit matin, petit matin
Je dormirai demain, demain
Mais j'ai l'estomac vide, oui tellement vide
Les Civils (video)

lyliane six said...

On voyait ce genre de choses dans les pays du tiers monde, mais maintenant là bas, c'est incroyable!

Daniel said...

L'exploitation de l'homme par l'homme ... Triste très triste !!!
Dire que vendredi prochain c'est la fête du travail !!!
Très bonne journée ;))

hpy said...

Et d'habitude, que font-ils comme travail? Y a-t-il un domaine plus demandeur de ces journaliers que d'autres?

claude said...

C'est bien triste.
Dire qu'il y en a qu'on du boulot et qui trouve le moyen de ne pas être contents et de foutre le bazar dans les rues. Moi, cela me révolte.

Pat said...

Great slice of life photo; says so much.

Thérèse said...

Après avoir vu le film « the soloist » ce week-end, un chiffre me reste en tête : 90 000. 90 000 sans-abris vivent à Los Angeles et dans ses environs…

After having seen the movie “the soloist” this weekend, the number 90 000 is stuck in my head. 90 000 homeless people live in Los Angeles and its suburbs…

Thérèse said...

Hélène, ils sont généralement embauchés pour aider à nettoyer les jardins privés, travailler dans les champs, construire les maisons, les piscines… principalement des mexicains à cet endroit particulier de Chandler.

Marguerite-marie said...

ce n'est sans doute malheureusement que le début; y aura-t-il un seul pays épargné?
je viens de lire tous tes posts en retard(pour moi) spectaculaire!!!!c'est quand on en voit plusieurs à la fois qu'on voit comme tu as un oeil et pas n'importe lequel.

Virginia said...

Oh, the same sight right here in Birmingham. We see it over and over, and many are here illegally. A no win situation.
V

Miss_Yves said...

Nous sommes revenus à l'époque des "Raisins de la colère"
(ou raisOns de la colère ?)

Anonymous said...

Immigration policies...or lack of! had made it hard for them even before the economic slump.

Anonymous said...

A ceux qui ne vivent pas ici, on voit ça tous les jours depuis des dizaines d'années.
La vie est toujours précaire ici pour ceux qui n'ont pas de formation technique. Et ce ne sont pas seulement les "hispaniques".
Naturellement, AUCUNE couverture sociale. Et on parle sans arrêt d'empêcher leurs enfants d'aller à l'école.
Ce qu'on ne comprend pas, c'est qu'on a besoin d'eux pour ces travaux physiquement durs - cueillette des agrumes, culture des primeurs, etc... mais les employeurs ont les mains liées par les règlements.
Les mêmes employeurs- s'ils arrivent à contourner la loi!- les exploitent, car ils ne les paient pas le salaire minimum...mais qui veut avoir à payer sa laitue $5.00 pièce au supermarché au lieu d'$1.00?
Désolée de faire de la politique! Mais je crois à la Justice Sociale.