Wednesday, May 25, 2011

Diversity in Art

Miss Yves understood that more was coming about the Center's quilt but as I don't have much more than what I showed yesterday  I am adding these few quilts:

part of the railing quilt at the Mesa Art Center,



Miss Yves avait compris qu'il y aurait plus sur les patchworks du centre  mais comme je n’ai pas grand chose sur le sujet, j’ajoute ceci:
un morceau de la barrière "quiltée" du Centre d’Art de Mesa,


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Mesa Art Center, March 2011


a patchwork made of glass blocks and tiles, along a stairway,

un patchwork fait de blocs de verre et de carreaux, le long d’un escalier,

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imprints of leaves and branches reflections forming different patterns on the ground of the same center,

empreintes de feuilles et  reflets de branchages jetant diverses formes sur le sol,

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and to “save me” a picture sent by Cergie representing a small area of the Mosaic Garden in the Lille area, north of France: the Garden of Cultures.  There would be more than one explanation for each one to hang a piece of fabric on this wooden fence, would you have any to suggest?

et, pour me sauver de cette situation l’envoi de Cergie : une photo représentant une petite partie du jardin des cultures : le jardin Mosaïc près de Lille. Il y aurait plus d’une explication possible pour suspendre une bande de tissu sur cette palissade en bois.
En auriez-vous une à suggérer?

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15 comments:

Thérèse said...

In Belgrade at Easter time, I used to hang a piece of paper on a tree outside an Orthodox church, it is a tradition and of course each one is free to write whatever he wants on it.

A Pâques j'avais l'habitude de suspendre un bout de papier à la branche d'un arbre du jardin d'une église orthodoxe à Belgrade. C'est une tradition et, bien sur, libre à chacun d'y écrire ce que l'on veut.

Marguerite-marie said...

au Japon auprès des temples il y a des espèces de barres de bois où chacun peut attacher une bande de papier ou tissu sur laquelle il écrit une prière, un voeu ... peut-être ici la couleur pourrait avoir une signification?

claude said...

C'est curieux ces bandes de tissus mais pourquoi pas. Un mot d'amour, un prénom, une prière, ou un message en tout genre.

Delphinium said...

C'est pour faire peur aux oiseaux? :-)))

l'oiseau said...

Même pas peur!!!

cieldequimper said...

C'est chouette.

Et moi je ne sais pas nouer des quilts.

christian said...

L'assemblage de couleurs vives est toujours joli! L'espoir????

Daniel said...

La publication est un patchwork a elle tout seule !!!
Les gens tout de même devaient éviter de laisser trainer leurs bouts de chiffons après les haies...lol
A + :))

Marguerite said...

J'aimerais savoir faire des patchworks, j'ai une amie qui en fait très facilement. Je viens de penser que j'en ai publié un une fois sur ce message. J'ai deux coussins faits par elle, elle avait aussi offert une jolie couverture à Ambre que ses parents ont oubliée après l'avoir changée sur une table de pique-nique

Marguerite said...

Le principe de ce procédé élevé ensuite à mon sens au rang d'art est de donner une deuxième vie à des bouts de tissu du temps des pionniers notamment. De même on coupait les draps usés en long au milieu pour les réassembler.
Le carrelage ou la mosaique ou les fenêtres à petits carreaux ou les tableaux vivants chinois s'apparentent au pointillisme. L'effet est le même de loin à partir de petits éléments moins fragiles et moins couteux....

Marguerite said...

A quoi cela sert sauf à faire beau ?
A faire chanter le vent ? Non plutôt à le faire danser.
A prolonger les prières ?
Ou alors à l'origine étaient ainsi faites des tentures contre les mouches le jour et contre les loups la nuit...

Miss_Yves said...

Merci pour le lien!
Très jolie la mosaïque en gris!
Et voici une haie plessée comme support pour faire danser les rubans!

Pierre BOYER said...

J'aime beaucoup celle avec les empreintes de feuilles te l'ombre sur le sol...
Merci !

Pierre

Bergson said...

encore des pélerins qui se croyaient à ST jacques de Compostelle

myko said...

Belle série Thérèse, ainsi que la précédente. Je pense à une barrière à prières.