Sunday, June 1, 2008

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Chandler, Arizona Av. Queen Creek
Every time I meet someone who has lived for a while in Chandler I show this picture. No one has a clue what it was or what it is for… I’ll keep asking.

A chaque occasion qui se présente je montre cette photo pour essayer de comprendre le pourquoi de cet “ouvrage."

11 comments:

Cergie said...

Tu ne sais donc pas à quoi cela sert ?
(A noter : le mortier entre les joints)
Lorsque cela n'a l'air de servir à rien, c'est que c'est un mémorial.
Tu vois comme un noeud à un mouchoir. A la différence qu'un noeud à un mouchoir sert à rappeler le futur et non le passé...

Thérèse said...

Une ouverture avec une planche a travers au bas, une planche a travers en haut... au coin d'un champ et, comme cela se construit a vitesse grand V, un hopital pour animaux a droite au fond.

Tu as raison Lucie un tumulus du souvenir.

Anonymous said...

Un tumulus du souvenir? mais en souvenir de quoi? Par contre pour le noeud dans la mouchoir, je ne suis pas tout à fait d'accord avec cergie. Parce que le noeud fait en effet souvent penser à quelque chose que l'on doit faire et que l'on n'a pas encore fait. Mais pour penser à cela, il a fallu penser, et cette pensée, c'était dans le passé qu'elle s'est forgée. Une pensée dans le passée pour penser à l'avenir. Il y a donc un peu de passé en pensée dans l'avenir. Non, non, non, je n'ai pas bu... :-))
Bises et bonne semaine

lyliane six said...

On dirait une cheminée ou un four à pain dressés comme les menhirs!

hpy said...

Ce "tas de cailloux" est là juste parce que quelqu'un a eu besoin de se prouver qu'il était capable de construire quelque chose. C'est un monument en hommage à l'homme debout, l'homme qui a des mains et qui s'en sert.

Thérèse said...

Côté mouchoir Delphinium je pense qu'il ne sert qu'à s'essuyer le front quand on a trop pensé....

Et côté cheminée, Lyliane, il faudra trouver autre chose car il n'y a aucun conduit à l'intérieur!

Hélène : avec l’aide d’une échelle peut-être.

Hommage à l’auteur !

Tribute to the author !

Anonymous said...

Un cairn, comme en montagne, pour retrouver son chemin dans le brouillard ???

Mais attends... c'est creux ?
Ce n'est pas un fumoir par hasard ? Non, ce serait trop simple...

J'aime beaucoup l'idée d'HPY. Il ne faut pas éliminer l'option facteur cheval.

Daniel said...

Autre supposition sans doute aussi farfelue...
Si à l'origine il y en avait deux reliées par une poutre ce pouvez être l'entré d'un ranch ou d'une hacienda...
Sur Google-Earth nous avons une très bonne image de Chandler, personne n’a placée l’image cité dessus dommage.

Anonymous said...

Eh ben moi, la vieille arizonienne, je me souviens quand la maison en galets de la riviere Gila etait la: des fermiers pionniers l'avaient construite.
Ce qui reste est soit la cheminee, soit un reste de mur, car les murs etaient biseautes en quelque sorte, avec une base forte contre les inondations de la riviere Gila,parfois violentes, allant se retrecissant vers le haut pour avoir un grand toit protegeant de la chaleur d'ete.
Les gens n'etaient pas riches.
Comparer avec El Tovar au Grand Canyon...meme type d'architecture, en miniature!

Thérèse said...

Il faudra y aller ensemble pour voir de plus pres car il n'y a aucun conduit a l'interieur et les "galets" sont cimentes. Pourquoi es-tu la seule a qui je n'ai pas demande???
Rien ne peut egaler El Tovar, ni la vue, ni le service, rien...

Anonymous said...

Oui, on ira voir ça de près, Thérèse, mais Eric est certain que ça a été l'un des deux piliers soutenant le linteau annonçant un ranch, comme ça se faisait autrefois.
Il y avait encore des ruines d'habitation quand nous passions par là pour aller à Tucson...dans le bon vieux temps, c'est à dire vers 1970!
C'était LA route pour y aller, il n'y en avait pas d'autre, sauf ce qu'on appelle le Miracle Mile qui passe par Florence Junction.
C'était impressionnant de traverser la réserve des Indiens Gila, SI pauvre et pitoyable. Mais ce ranch était avant la bifurcation sur Casa Grande vers l'est, Tucson vers le sud, bifurcation qui avait un unique bar où les indiens venaient se saoûler hélàs, car il était à la frontière de la réserve où il n'y a jamais eu le droit de vendre de boissons alcoolisées.